Ce projet s’inscrit dans le cadre de la vision partagée des deux institutions, à stimuler l’innovation, favoriser l’inclusion financière, créer un écosystème propice à la croissance de l’agriculture ivoirienne sur la durée.
« Cet accord marque une étape importante dans le développement du secteur agricole en Côte d’Ivoire. C’est le début d’une transformation profonde. L’objectif pour nous est de toucher 3 à 6 millions de personnes potentielles », a fait savoir Paul-Harry Aithnard, directeur général du groupe Ecobank et directeur du cluster régional.
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Selon lui, par cette convention, il s’agit de jeter les bases d’une transformation significative, d’une modernisation qui impactera la vie des citoyens. « Nous aspirons à être le moteur de la digitalisation du monde agricole », a-t-il ajouté.
« C’est un acte éminent dans l’histoire de notre pays, car l’agriculture qui depuis quelques années, est laissée pour compte et pourtant qui devrait donner espoir à la jeunesse », s’est réjoui, Sindou Bamba, président de la Chambre Nationale d'Agriculture de Côte d'Ivoire (CNA-CI).
Il s’est dit prêt à accompagner et s’investir pour la réussite de ce projet.
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En ce qui concerne le mécanisme de collecte et d’enregistrement des paysans, Paul-Harry Aithnard a précisé que le processus se fera via une synchronisation d’informations, avec les coopératives agricoles ou les planteurs eux-mêmes.
En outre, ce projet a aussi pour mission de proposer des solutions de paiement numériques, de faciliter l’accès au financement et aux produits d’assurance aux agriculteurs.
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